Mis à jour le 27/04/2022,

La Rédaction

En 2020, un grand gagnant a remporté 200 Millions d’euros… et a presque tout donné pour sauver l’environnement ! Un petit coup d’œil à cette démarche inspirante !

Chaque année, de nouveaux jackpots sont remportés… et de nouveaux gagnants (et gagnantes !) font leur entrée dans la grande famille FDJ®. 

Le premier réflexe (une fois les cris de joie passés), est souvent d’acheter une maison, et de mettre ses proches à l’abri. Ensuite viennent les voyages… et bien souvent, les gagnants et les gagnantes souhaitent aussi donner une partie de leurs gains aux causes qui leur sont chères. 

Mais dans toute l’histoire du jeu, c’est la première fois qu’un gagnant donne presque l’intégralité de ses gains « pour sauver la planète » !

En décembre 2020, un jackpot de 200M€ est remporté – c’est le second plus gros gain depuis le lancement en France d’EuroMillions. 

Française des Jeux^® partage souvent des anecdotes sur la manière originale dont les gagnants ont choisi leurs numéros, ou de jolis récits de gains qui ont fait le bonheur de familles entières. Mais c’est une anecdote inédite que nous vous racontons aujourd’hui : ce gagnant anonyme a créé une fondation de protection de l’environnement, et a prévu de lui reverser, progressivement la quasi-intégralité de ce gain exceptionnel de 200M€ ! 

Dénommée Anyama, la fondation emploie une équipe de spécialistes de l’environnement, qui vont sélectionner des projets à soutenir. Pourquoi ce nom ? C’est celui d’une commune ivoirienne de 150 000 habitants, à quelques kilomètres d’Abidjan. Aucun hasard : notre grand gagnant y a vécu durant son enfance, et c’est un lieu auquel il pense encore, avec beaucoup d’émotion. 

C’est aussi là qu’il se souvient avoir vu passer une file presque ininterrompue de camions, qui transportaient des arbres coupés… un souvenir qui l’a marqué et l’a aidé à prendre conscience très tôt de la fragilité de la nature. Et c’est aussi ce qui l’a décidé à faire de son mieux, grâce à sa chance, pour contribuer à « protéger le vivant ». Et le dernier rapport du GIEC, plus alarmant que jamais, l’a conforté dans sa décision ! 

Décidé à rester anonyme, le gagnant mystère déclare se sentir « bien, car il a concrétisé son projet de fondation ». Le reste du temps ? Il vit, c’est vrai, plus confortablement qu’avant : il a fait des travaux dans sa maison, a acheté une résidence secondaire… mais des changements modestes, car ce qui le rend heureux avant tout, c’est de marcher dans la nature, ou de la sillonner à vélo… sans oublier les bons moments en famille. « Il faut agir ! » insiste ce généreux gagnant. Et c’est ce qu’il a fait, grâce à un gros coup de chance, et dans le respect de ses convictions.